2011年6月15日星期三

switch to a ‘green’ search engine

switch to a 'green' search engine
You may not realise it, but every Internet search that you make has an impact on the environment. Your query races back to a server which uses electricity to run processors in huge, power-hungry server farms that spit out your query before returning it to you. The more searches we do, the greater the environmental impact.

While Google is investing is green tech like windfarms and solar plants to boost its green credentials, another more direct approach that we users can make is to switch to a 'green' search engine.

Ecosia is a search engine that returns results from Bing and Yahoo. However, whenever you click a sponsored search result, Ecosia gets a chunk of the revenue and passes at least 80% of it on to the WWF to support its work in the Amazon rain forest.

Ecosia is a Germany-based company that launched in December 2009, inspired by founder Christian Kroll's travels in South America. In its first 18 months, the company says that it has raised €250,000 (362,337 USD) for the WWF (although the counter on its front page seems a little behid this). It has recently launched EcoLink, an affiliate link scheme in partnership with Skimlinks and Viglink, that funnels money to the WWF too.

Although it says it has just 200,000 users, this little-known search engine is essentially the same as using Bing, but with a nice kickback for the environment. It should give you a feeling of 'doing good' each time you search, too.
Sauvez 0,1 m² de forêt tropicale par recherche effectuée avec Forestle. Grâce à vos recherches, nous avons déjà préservé 10,319,493.0 m²!Et si vous mettiez du vert dans votre moteur… de recherche? Google n'est pas le seul à vous trouver de bons plans sur la Toile. Il faut désormais compter avec les moteurs de recherche écolo qui financent une multitude de projets liés au développement durable…

Pour chaque demande lancée, ils donnent quelques centimes d'euros à des associations grâce à l'affichage publicitaire sur leurs pages. L'argent généré dépend de plusieurs facteurs: la popularité du site, le nombre d'affichages ou de clics.

Voici une sélection de cinq sites à retenir pour faire des recherches Internet solidaires.

Doona est une association qui n'a pas de but lucratif. Tous les bénéfices générés par son moteur de recherche sont destinés à diverses associations humanitaires (Action chômage 82, Dignité animale, Planète urgence…) qui les utiliseront pour leurs actions (construction d'orphelinats en France, sauvegarde des chimpanzés, lutte contre le trafic d'enfants…). Chaque fois que Doona peut organiser un don, elle propose aux internautes de voter pour leur association favorite. Celle qui a recueilli le plus de votes reçoit le don (l'association est alors mise hors liste pendant trois votes consécutifs).

Ecosia.org donne au moins 80% de ses revenus à la protection des forêts amazoniennes. Comment? Grâce aux clics publicitaires que vous faites lors de vos recherches sur le site. La régie publicitaire rémunère Bing ou Yahoo qui permettent les recherches sur le site d'Ecosia. Bing et Yahoo reversent ensuite une grande partie des sommes gagnées à Ecosia. A ce jour, l'entreprise a déjà pu donner 250 000 € au WWF !

Sur le site HooSeek, le principe est simple : chaque recherche web génère 0,15 centime et chaque recherche shopping génère 1 centime pour une association. Les sommes sont partagées entre les associations choisies. L'internaute sélectionne jusqu'à quatre associations parmi les 500 000 présentes (Kokopelli, pour la protection des ressources génétiques alimentaires et la promotion des pratiques de jardinage et d'agriculture durables, l'ONG Terre d'abeilles, spécialisée dans la protection des abeilles et autres pollinisateurs sauvages, le réseau « Sortir du Nucléaire », pour une autre politique énergétique…). HooSeek prévoit de sortir de nouvelles fonctionnalités, comme le Seeker, un outil qui évite de cliquer sur « Page Suivante » si la réponse idéale n'apparaît pas dans les 10 premiers résultats (comme 40% des recherches effectuées). Les autres réponses se chargent automatiquement en dessous.
Plus vous cherchez, plus vous collectez

Avec plus de 60.000 € récoltés depuis le lancement, VeoSearch offre une aide importante aux associations humanitaires. Pionnier sur le marché des moteurs de recherche solidaire, VeoSearch permet de soutenir jusqu'à cinq associations. Comment ? C'est simple : une fois inscrit sur le site, ajoutez celles qui vous intéressent dans la rubrique « Ma Sélection ». Plus vous cherchez, plus vous collectez pour elles. VeoSearch leur reverse 50% des revenus publicitaires générés par les recherches. Son plus : un espace shopping pour comparer les prix qui permet également de leur donner 50% des revenus de la pub. Aujourd'hui, 940 associations partenaires sont répertoriées. Parmi les favorites: le WWF avec plus de 12.000 fans et 4.400€, Handicap International, qui récolte 3 200€, et Clowns z'hopitaux, avec près de 3.000€. Cette association intervient dans 14 villes de France, dans des services pédiatrie ou dans les maisons de retraite. Leur crédo : faire rire pour diminuer le stress de l'hôpital, la souffrance et l'exclusion.

Nouveau dans le domaine, le site Zutopi sera mis en ligne courant juin. Il reversera 50% de ses revenus pour la réalisation d'actions concrètes. Son plus: elle travaille en partenariat avec le WWF, GoodPlanet, UNICEF et Babyloan. Faire une recherche Internet et améliorer l'éducation en Afrique? C'est ce qu'offre Zutopi à travers son partenariat avec l'Unicef. Elle soutient ainsi la campagne «Des écoles pour l'Afrique» au Mozambique, un programme qui vise à améliorer la qualité de l'éducation pour 300.000 enfants. Via Babyloan, Zutopi aide les micro-entrepreneurs dans les pays en voie de développement par le financement de microcrédits. Avec le WWF, elle lutte contre l'orpaillage illégal -recherche et exploitation artisanale de l'or dans les rivières- en Guyane, source de destruction de la biodiversité. Enfin, à travers Goodplanet et le programme ActionCarbone, elle finance des projets de réduction des émissions de CO2.

A l'exception de Doona, exclusivement gérée par des bénévoles, tous ces sites sont des entreprises qui ne reversent qu'un pourcentage de leurs revenus aux projets. Le capital de HooSeek est ainsi évalué à 47.000 €, celui de VeoSearch à 78 840 €, etc. Certains remettent en cause le côté «éthique» de ce modèle économique: Handicap International, Médecins Sans Frontières et Greenpeace auraient ainsi demandé à être retirés des listings d'HooSeek.

Mieux vaut tout de même surfer sur ces sites qui financent des projets humanitaires, écologiques ou solidaires, plutôt que d'aller sur Google qui ne propose rien de tel et qui a réalisé, en 2009, 17 milliards d'euros de chiffre d'affaires.Die 5. KarmaKonsum-Konferenz wurde erfolgreich beendet. 25 Prozent mehr Teilnehmer konnte Veranstalter Christoph Harrach verzeichnen. Und die neuen City-Events lockten auch die Frankfurter zur Konferenz.
 Die Themen Nachhaltigkeit und Gesundheit standen am vergangenen Donnerstag und Freitag hoch im Kurs, denn an diesen Tagen wimmelt es von "grünen" Experten in der Stadt. Bereits zum fünften Mal tagt die KarmaKonsum-Konferenz in Frankfurt und tauscht sich über zukunftsweisende Nachhaltigkeitsaspekte aus. Über 1000 Teilnehmer - 25 Prozent mehr als im Vorjahr - beschäftigten sich in den Räumen der IHK mit den sozialen, geistigen und kulturellen Nachhaltigkeitsströmungen und deren Einfluss auf Unternehmens- und Konsumentenseite.

Doch in diesem Jahr spielte sich die Konferenz nicht nur hinter verschlossenen Türen ab, sie öffnete sich der Stadt. Und so wurde das neue Veranstaltungsformat "City-Events" auch von den Frankfurter akzeptiert. Der YogaMob auf dem Börsenplatz zog rund 200 Personen in seinen Bann. Und zum Abschluss der Konferenz radelten rund 250 Personen beim "KarmaRide" mit. "Mit den City-Events möchte ich einen Beitrag zur nachhaltigen Stadtentwicklung leisten und nationale sowie lokale Nachhaltigkeitsnetzwerke zusammenbringen", sagt KarmaKonsum-Initiator Christoph Harrach.

Den 3. KarmaKonsum Gründer-Award, überreicht von Schauspielerin und Yoga-Lehrerin Ursula Karven, gewann die Online-Suchmaschine "Ecosia". 30 Start-Up-Unternehmen, deren Geschäftsideen Potentiale haben, die Wirtschaft nachhaltiger zu gestalten, hatten sich beworben. Das Projekt "Ilses Weite Welt" erhielt den Sonderpreis für soziale Innovationen, denn in dem Projekt geht's um die Krankheit Demenz und verschafft dem Thema mehr öffentliche Aufmerksamkeit und bietet Betroffenen sowie Angehörigen konkrete Hilfe an.Christian Kroll gründete und leitet die grüne Suchmaschine Ecosia. (FOTO: ECOSIA)
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BERLIN/Halle (Saale)/MZ. Im Internet surfen und dabei der Umwelt helfen. Die Wittenberger Geschwister Jana und Christian Kroll sind mit ihrer Suchmaschine "Ecosia" auf gutem Weg, damit weltweit erfolgreich zu sein. Heute wird das Start-Up-Unternehmen einen weiteren Meilenstein erreichen: Der Einnahmezähler wird die Marke von 250 000 Euro überschreiten. Dieses Geld fließt in den Schutz des Regenwaldes.

Seite ging Ende 2009 online

Das Geschäftsmodell in der digitalen Welt fand Christian Kroll nach eigenen Worten bei einer Weltreise. Er besuchte 2008 Argentinien und wurde dort auf die Bedeutung des Regenwaldes aufmerksam. "Dessen Erhaltung ist wahrscheinlich die wichtigste Aufgabe, um dem Klimawandel zu begegnen", sagt Kroll. Denn noch immer werde jede Minute eine Fläche so groß wie dreißig Fußballfelder vernichtet. Zudem war Kroll vom US-Autor Thomas Friedman fasziniert, der eindringlich beschreibt, dass globales Wirtschaftswachstum langfristig nur möglich ist, wenn es ökologisch stattfindet.

Für den heute 27-jährigen Kroll, der nach seiner Wittenberger Schulzeit Betriebswirtschaft studierte, bedeutet dies, eine Suchmaschine zu betreiben, die dem Klimaschutz hilft. Dies ist alles andere als einfach. Die Ende 2009 gestartete Seite Ecosia ist nach xabbel.org und Forestle mittlerweile der dritte Versuch von Kroll, ein soziale Suchmaschine zu etablieren. Die wichtigste Voraussetzung für Erfolg im Internet ist, Aufmerksamkeit zu erhalten. Dies gelingt immer besser. Ecosia ist nach eigenen Angaben die weltgrößte grüne Suchmaschine im Netz.

"Wir haben durchschnittlich 200 000 Besucher am Tag mit 700 000 Suchanfragen", sagt Jana Kroll. Dabei betreibt Ecosia keine eigene Suchmaschine, sondern leitet die Anfragen an die Partnersuchmaschine Yahoo / Bing weiter. Die Server der US-Internetriesen liefern die Ergebnisse und Anzeigen. Letztere sind die Einnahmequelle. Mit jedem Klick verdient Ecosia. 80 Prozent der Einnahmen gehen laut Kroll an Regenwaldprojekte der Umweltschutzorganisation WWF im Norden Brasiliens. Die restlichen 20 Prozent würden in die Verwaltung und die Weiterentwicklung der Seite fließen. Derzeit ist die Mannschaft noch klein. Von einer Berliner Altbauwohnung aus betreuen Kroll, seine Schwester und fünf freie Mitarbeiter, darunter Programmierer, die Seite.

US-Markt fest im Blick

Sie arbeiten an der Expansion von Ecosia. Mittlerweile gibt es die Suchmaschine in mehr als 30 Ländern. "Wir versuchen derzeit, im wichtigsten Markt, den USA, Fuß zu fassen", sagt Kroll. Rund die Hälfte des weltweiten Umsatzes mit Onlinewerbung entfalle auf das Land. Und mehr Nutzer bedeuten auch mehr Klicks auf Werbung und damit mehr Einnahmen. Kroll hat dies hochgerechnet: "Pro Suche verdienen wir etwa 0,15 Cent."

Für den Internetexperten Jo Bager vom Computerfachmagazin "c't" ist Ecosia zunächst ein reines Geschäftsmodell. "Es gibt bereits einige grüne Suchmaschinen weltweit, die diese Marktlücke entdeckt haben", so Bager. Yahoo / Bing würden über diese Partnermodelle offenbar versuchen, dem absoluten Branchenprimus Google Marktanteile abzunehmen. Auf Google entfallen in Deutschland fast 95 Prozent der Suchanfragen.

Ecosia wollte laut Kroll zunächst auch mit Google kooperieren, erhielt aber eine Absage. "Unsere Suchergebnisse sind aber vergleichbar mit Google", ist der junge Unternehmer überzeugt. Und sie böten ein großes Plus: "Sie helfen der Umwelt."Grüne Suchmaschine sammelt 250.000 Euro für WWF

Die grüne Suchmaschine Ecosia überschreitet am Dienstag die Spendensumme von 250.000 Euro – nur 18 Monate nachdem das Projekt mit dem Versprechen startete, mindestens 80 Prozent der Einnahmen an den World Wide Fund for Nature (WWF) zu spenden. Ein Teil der Spendensumme entfällt auf das Shopping-Feature EcoLink, dessen monatlicher Umsatzanteil im April um 30 Prozent stieg. Die Suchmaske Ecosia.org ist ein Service der Ecosia GmbH, einem ökologisch orientierten Social Business, das sich dem Regenwaldschutz widmet. Ecosia betreibt keine eigenen Suchmaschine.La guerre des fourmis

Depuis que j'ai commencé à vivre de façon plus durable, je me suis découvert des ennemis insoupçonnés. Les sacs plastiques, les ampoules à filament, les couverts jetables et… les fourmis. En temps normal, je n'ai rien contre elles. J'avais même oublié leur existence lorsque j'ai installé mon lombricomposteur, à même le sol. Grave erreur. Pendant un mois, les vers à compost étaient pénards et pouvaient prendre tout leur temps pour transformer nos déchets en compost. Cette situation ne pouvait pas durer. La semaine dernière, ils ont été envahis par les fourmis. Je comprends ces dernières. Trouver de la nourriture en abondance sans avoir à faire d'effort, ça doit quand même être sympa. Le problème, c'est que les fourmis ralentissent le travail des vers et elles déplacent les déchets.


 Dans ma notice, j'ai lu qu'il suffisait de mettre les quatre pieds du lombricomposteur dans un bol rempli d'eau afin de garder les fourmis en dehors. Problème : notre modèle n'a été très bien fabriqué et il n'a pas quatre pieds, mais deux. Il fallait donc que je trouve une autre solution. Heureusement, j'ai regardé MacGyver lorsque j'étais plus jeune. Je me suis souvenu que nous avions une vieille table basse Ikea à la cave. J'ai fouillé dans nos placards et j'ai retrouvé des vieux gobelets qu'une copine nous avait ramenés des Etats-Unis deux ans auparavant. Petite musique de la série et voilà le résultat, en image. Certes, ce n'est pas très esthétique, mais ça a été efficace…  une semaine. Pendant ce laps de temps, les fourmis rodaient autour de la table sans trouver d'ouverture et les vers avaient repris leur boulot.

 C'était trop beau pour durer. Je ne comprends toujours pas comment les fourmis ont réussi leur coup, mais elles ont fait leur réapparition mardi dernier, le 31 mai. Les pieds de la table baignaient pourtant dans l'eau. Elles ont dû voir un épisode de MacGyver elles aussi et se construire un pont avec une feuille ou un bout de bois qu'elles retirent lorsqu'elles me voient arriver. Je ne vois pas d'autre possibilité... Face à cet affront, j'ai été contraint d'adopter une stratégie plus offensive. J'ai commencé par doubler les gobelets avec des coupelles, remplies d'eau. Après une recherche rapide sur Ecosia, j'ai également trouvé deux astuces pour se débarrasser des fourmis, sans avoir recours aux insecticides. J'ai installé un récipient avec du vinaigre blanc et du sucre. Les bougresses sont tombées dans le piège. J'ai aussi versé du bicarbonate de sodium autour de la table, ce qui est censé assécher les fourmis. Je ne suis pas sûr du résultat de ce deuxième procédé. Ce dont je suis sûr, c'est que les fourmis ont déserté la maison des vers depuis trois jours. Pourvu que ça dure.2011-06-09 | Frankfurt/Main - Kann Konsum die Welt verbessern? Zumindest ein bisschen, glauben die Organisatoren einer Messe für Menschen, die bei ihrem Konsumverhalten auf Gesundheit und Nachhaltigkeit achten.

Die achtsame Haltung nennt man neudeutsch LOHAS: «Lifestyle of Health and Sustainability». Diese kleine, aber finanzstarke Klientel bevorzugt Waren, die ressourcenschonend produziert sind und fair gehandelt wurden, und belohnt Firmen, die sich sozial verhalten. Auf der 5. KarmaKonsumKonferenz in Frankfurt stehen sie im Mittelpunkt.

RootersEcosia) und ein Gartenbauprojekt, das Ackerflächen an Großstädter vermietet. Auf dem Grabbeltisch präsentieren sich die Hersteller CO2-neutraler Kondome und Firmen, die Eis mit Agaven süßen.

Dabei ist die KarmaKonsumKonferenz eigentlich keine Verbrauchermesse wie die «Heldenplatz» in Berlin - hier geht es um den Diskurs. Eröffnungsrednerin der zweitägigen Konferenz, zu der sich 800 Teilnehmer angemeldet hatten, war am Donnerstag (9.6.) die Volkswirtschaftsprofessorin Angelika Zahrnt, Mitglied im Rat für Nachhaltige Entwicklung der Bundesregierung. Korrekter Konsum bedeute auch Konsumverzicht, redete sie den Teilnehmern ins Gewissen. «Wirtschaftswachstum als prioritäres Ziel ist nicht mit Nachhaltigkeit vereinbar.»

Korrekte KlamottenAvocado-Storeetsy.deDasselbe in Grün.

Carrotmob-Bewegung. Ein Carrotmob ist das Gegenteil von Boykott: Statt nicht-nachhaltig wirtschaftende Geschäfte durch Enthaltung zu bestrafen, werden ökologisch korrekte Läden durch Massen-Einkäufe belohnt. Konkret funktioniert das so: Über das Internet verabreden sich Menschen, zu einem bestimmten Zeitpunkt in einem bestimmten Laden einzukaufen, wenn der Besitzer verspricht, einen Teil des Mehrerlöses zugunsten der Umwelt zu reinvestieren. Eine «Win-win-win-Situation», glaubt Erfinder Brent Schulkin, von der Ladenbetreiber, Käufer und Umwelt profitieren.

Dass der Kalifornier mit dem Flieger anreiste, machte die Organisatoren nicht glücklich: «Seine Flugreise kompensieren wir natürlich», betonte KarmaKonsum-Erfinder Christoph Harrach, der auch ein gleichnamiges Internet-Portal betreibt. Welches Karma hat der Konsum? Immer das, das wir ihm geben, sagt Harrach. Karma meine nichts anderes als Wirkung: Letztlich gehe es nur darum, beim Einkauf die Wirkung mitzubedenken. Damit könne man vielleicht nicht die Welt retten, «aber Konsum ist ein guter Einstieg».


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